Temple de muses
Le temple des muses. Le thèàtre.
Le panthéon d'ennoblissement, -
De l'univers tempètes - l'éclat du perle sur la Terre...
Sur grand vétement du trésor, la nuit avance
tout doucement, -
Le palais unique de beauté dans l'histoire entière.
Les lignes fabuleux sur revètement mural plaisant -
Les ornements sculptural sont raffinés -
un style de beaux-art...
Le marbre de pastel de la nature -
d'une fresque imposante -
Dans l'escalier d'honneur et colonnes -
en nuance mat.
Le hall. La pluie de cristaux de l'arme chatoyantes -
Dans l'or de lustres grandiose - en pendeloque de l'or...
Les fenètres de palais avec rideaux de rubis
aux teintes myriades,-
Le tissu sombre de draperie, produit un effet de décor.
L'atmosphère enveloppé la salle par le souffle
de la féte, -
Les spectateurs et les danseurs - tout les enveloppé...
En un clin d'oeil - les feux de la rampe
s'éclairent de fait, -
Ce renaissance impériale
des époques glorieuses passées.
Une vague légère d'anxiété - l'effet la tension orné, -
L'esprit de la musique, sans attente de la vie.
L'avènement du silence de la spiritualité formé, -
Mouvement royal d'une baguette -
le triomphe de la partie.
La réalité de cygnes blancs volants sur le fond, -
Un tulle de lumière solaire couvert
par sons de musique...
La beauté éblouissante des artistes
conquis le monde, -
De chaque personnage tombe
une poudre ouverture magique.
L'orchestre donne une féerie de couleur
de belle l'oeuvre, -
Chaque note honneur la musique
et incrusté l'élégance satisfait...
L'harmonie d'une ode à une animation pure -
Peindrait ce spectacle comme un paysage
unique et parfait.
La position de transe, dans une motif
du temps de splendeur -
Une dentelle prestigieuse -
dans sauts charmant et gracieuse...
Le tulle change de couleur
sous le feux des progecteur, -
Les décors des saisons -
dans ses intonations scrupuleuses.
Une petite pause... Les tambours renforcent
le rythme de la partition, -
Un rayon de lumière - un reflet soleil
de paradis terrestre...
Les cascades des sauts vertigineux
d'un soliste dans l'action, -
La danse du corps de ballet
sur le fond bleu de la sphère céleste.
Le couple-solistes sur la scène -
émettant un luxe flexible -
Dans un pas de deux d'harmonie
et de délicatesse...
Les veines de corps saillant l'effort -
dans sentiment sensible -
Les muscles des lignes d'élégance,
montrent la passion immense.
Le festival des cygnes entouré par la nature, -
Le grand battement -
un saut captivant, de gràce juvénile...
Pirouette Fouettee dans les sauts Royal,
accélère l'allure, -
Dans sissone arabesque -
la performance de grand subtile.
La virtuosite fantastique
dans les themes variation, -
Parvient a son apogee -
une salve d'applaudissement -
De la reconnaissance de performance
de la danse sensation, -
Tel une d'abondance de passion
jusqu'au final de moment.
Gratitude de publique, avec le "Bravo!" -
poursuite...
La reverence de la troupe de ballet
emaillaient de fleurs vives, -
Le rideau tombe. Une resonance acoustique
donne un vide, -
Le temple de muses disparait
dans le secret de la nuit massive.
2018
Le fleuve Dniepr
C'est ainsi, à partir d'un épisode banal, que j'ai désidé d'entreprendre ma première pratique littéraire - quoi qu'il en soit, elle a quand mème eu lieu dans ma ville natale, Kiev, où, depuis le bastion de la Russie de Kiev, cette cité aux quatre cents temples et, apparemment, autant de collines, un tableau pittoresque se déploie sur les berges du vieillard vénérable, le fleuve Dniepr.
Cependant, et pas très longtemps et pas très réussi à cause de l'ascension du rideau de théàtre - encore une fois, l'un des rèves de ma grand-mère...
Ici, je mets un peu de mémoire poétique de ma jeunesse vierge... en 1978.
Над живописным берегом Днепра,
Сединами увенчанные склоны, -
Жизнь отражает древности река -
В дозоре страж - согнувшиеся клёны.
Рытвины круч хранят былинный прах -
Израненную летопись эпохи...
Откос долин высвечивает мрак -
Истории дошедшей Града крохи.
Я с высоты Андреевской горы
В легенду уношусь с крутого спуска, -
Из глубины мне Киевской Руси
Видна Подола ветхая краюшка.
La piste solaire sur pied nus
Les changements troublants dans la vie naturelle me font une impression... m’accompanante tout ma vie. Le sourire sur mon visage n’est pas effacé lors de rencontres fugaces avec des passants dans les rues d’une grande ville. Mais, toujours, mon regard s’arrète, glisse le long des troncs des arbres, avec des branches - des cheveux moelleux. C’est un regard, avec un battement de coeur exaltant, émanant des souvenirs de mon premier pas timide... Et c’est devenu ma passion pour la sculpture sur bois - pour continuer la vie d’un arbre tombé.
Pendant mon enfance, il me semblait que les arbres sont victimes de la magie d’une sorcière maléfique et qu’ils en sont enchainé au sol. Je dansais devant eux pour soulager leur supplice. J’éprouvais une joie infinie de l’haleine du petite vent, de son glissement sur la sveltesse souple des jeunes pousses, de sa course sur le feuillage de couronnes vigoureuses des patriarches, ses voltiges dans la translucidité aérienne du satin céleste ou bien se plongeons vers le sol duveteux et croustilleux. Je pouvais sentir les baisersde l’herbe de mes pieds nus éclaireés par la lumière du soleil. Je me sentais en sécurité...
La violence n'efface pas l'histoire
Mon grand-père Zygmund était un participant de la Premier Guerre mondiale. En 1916, il est diplome de la faculté de médecine de l'Univercité de Kiev. Un de ses camarades de classe, lors de l'obtention des diplomes, était Mikhail Afanasyevich Boulgakov - le futur écrivain, qui est né a Kiev et vecu sur la descendance Andreevskiy, que j'ai mentionné dans un poèm en russe. Pour les grands services à la patrie a été abattu par les bolcheviks en 1937